Collection « Sillages »

  • Treks au Népal
  • La 2CV vagabonde
  • Ísland
  • Habiter l’Antarctique
  • Cavalières
  • Damien autour du monde
  • À l’ombre de l’Ararat
  • Moi, Naraa, femme de Mongolie
  • Carpates
  • Âme du Gange (L’)
  • Pèlerin de Shikoku (Le)
  • Ivre de steppes
  • Tu seras un homme
  • Arctic Dream
  • Road Angels
  • L’ours est mon maître
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Cavalier des steppes
  • Odyssée amérindienne (L’)
  • Routes de la foi (Les)
  • Aborigènes
  • Diagonale eurasienne
  • Brasil
  • Route du thé (La)
  • Dans les pas de l’Ours
  • Kamtchatka
  • Coureur des bois
  • Aux quatre vents de la Patagonie
  • Siberia
  • Sur la route again
  • À l’écoute de l’Inde
  • Seule sur le Transsibérien
  • Rivages de l’Est
  • Solitudes australes
  • Espíritu Pampa
  • À l’auberge de l’Orient
  • Sans escale
  • Au pays des hommes-fleurs
  • Voyage au bout de la soif
  • Errance amérindienne
  • Sibériennes
  • Unghalak
  • Nomade du Grand Nord
  • Sous l’aile du Grand Corbeau
  • Au cœur de l’Inde
  • Pèlerin d’Orient
  • Pèlerin d’Occident
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Au vent des Kerguelen
  • Volta (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Atalaya
  • Voie des glaces (La)
  • Grand Hiver (Le)
  • Maelström
  • Au gré du Yukon
Couverture

Coralie Le Rasle, Carnets d’aventures n° 31, mars-mai 2013 :
« Parti des contreforts kazakhs de l’Altaï, Nicolas Ducret a rallié en six mois Kaboul, en Afghanistan, en traversant le Kirghizistan puis le Tadjikistan. C’était en 2007. Les steppes dont parle Nicolas ne sont pas peuplées que de nomades au grand cœur, il porte un regard franc sur les rencontres qu’il fait, parfois dur même. Mais plus on l’accompagne dans sa chevauchée, mieux l’on croit connaître et comprendre ces contrées et ce qui peut y attirer le voyageur : des étendues à perte de vue dans lesquelles on s’oriente à la boussole, des vallées encaissées dont les cols ne sont même pas indiqués sur les cartes, des familles qui tuent le mouton en votre honneur parce qu’elles perpétuent les traditions d’hospitalité et d’entraide de ces régions où la vie est rude, et d’autres rencontres qu’il aurait préféré éviter…
C’est aussi un dialogue avec les chevaux, fidèles compagnons qui imposent leur rythme au cavalier nomade. L’arrivée en Afghanistan et la traversée jusqu’à Kaboul sont tellement épiques qu’on se surprend à espérer une conclusion heureuse. Ce récit beau et passionnant se dévore et pousse vraiment à la cavalcade ! »


Irina Doulkina, www.lecourrierderussie.com, le 16 juillet 2012 :
« De son périple, Nicolas Ducret ressort avec la conviction de devoir toujours mener ses rêves à bon port et de ne jamais se laisser décourager. “Tout au long de mon voyage, j’ai croisé des gens qui m’assuraient que je tentais l’impossible”, se souvient-il. Impossible, disaient-ils, pour un Français, d’aller à cheval jusqu’à Kaboul sans être attaqué par un ours, dévoré par un loup, égorgé par un bandit de grand chemin ou, au mieux, dépouillé par des ivrognes désespérés. Des représentants de la dernière espèce l’ont effectivement assailli, un jour, quelque part entre le Kirghizistan et le Tadjikistan, pour tenter de lui voler montures et bagages. Mais quelques coups de cravache ont suffi à les décourager. Et les heureuses rencontres ont été autrement plus nombreuses.
Si des rencontres ponctuent son voyage, Nicolas Ducret avance, la plupart du temps, seul – sur le dos d’un cheval, en menant un autre à ses côtés, chargé des bagages. Ondulant sur sa selle, il tourne les pages d’un roman de Dostoïevski. “J’ai lu
Les Frères Karamazov lors de ma chevauchée, confie-t-il. On a, en voyage, beaucoup de temps pour réfléchir – et Dostoïevski y offre mille occasions.” Ses chevaux vont au pas, parcourant en moyenne 35 km par jour. “Nous avions un accord, moi et mes chevaux, précise le cavalier. Le jour, ils avançaient sagement sans se laisser tenter par l’un ou l’autre buisson à 19 mètres du chemin et, le soir, je leur trouvais une clairière pour brouter à discrétion.”
Monté pour la première fois sur un cheval à 6 ans, Nicolas Ducret, à 30 ans, sait à merveille établir une relation de confiance avec la bête. “Il n’y a pas de chevaux incapables. Ce que l’on ne pourrait pas dire des cavaliers, estime-t-il. Il appartient au cavalier de sentir la nature d’un cheval et de lui expliquer correctement ce qu’il veut.”
À Kaboul, Nicolas Ducret vend ses chevaux, s’installe chez un ami et dort pendant toute une semaine avant de repartir en France. Bilan : une série de photos remarquables, le livre
Cavalier des steppes que le voyageur rédige une fois de retour et une connaissance de soi plus profonde, acquise au prix d’épreuves successives – but véritable de tous les voyages entrepris par les hommes depuis la nuit des temps, Ulysse le premier. »

Un internaute, www.fnac.com, le 23 septembre 2010 :
« Découverte des paysages et des habitants de l’Asie centrale ; un voyage magnifique et une aventure passionnante. »

Roger Gay & Chantal Gleyses, Cheval pratique n° 242, mai 2010 :
« Une vraie aventure que cette longue chevauchée dans quatre pays d’Asie centrale, du Kazakhstan à l’Afghanistan en passant par le Kirghizistan et le Tadjikistan. Seul avec deux chevaux, Nicolas Ducret parcourt 3 000 km de mai à novembre 2007. Si le périple garde un peu du charme des caravanes d’antan, on est bien loin d’un voyage touristique. Ses jours et ses nuits, il faut les passer le plus souvent à résister au soleil, à la faim, à la peur. Dans ces territoires coincés entre la Russie et la Chine, hommes et femmes survivent comme ils le peuvent. L’auteur décrit minutieusement le quotidien de ces peuples jadis cavaliers, où l’hospitalité reste encore une tradition, retraçant leur histoire, déplorant les désastres écologiques et expliquant l’impact des politiques et des religions. De multiples rencontres rythment cette longue marche, en général chaleureuses, parfois angoissantes. Certaines fermes ressemblent à un “cauchemar de vagabonds”, mélange de “cour des miracles, de camp d’exilés et d’hôpital psychiatrique”. Pour Tsigane et Musicien des steppes aussi, le voyage est rude, quand l’herbe manque et qu’ils doivent se contenter de l’orge qu’ils transportent. Les deux chevaux arriveront pourtant à Kaboul à temps pour disputer le bouzkachi, ce jeu que les Afghans doivent aux hordes mongoles de Gengis Khan. »

Pierre, www.fnac.com, le 15 avril 2010 :
« J’ai découvert ce livre sur un présentoir de la Fnac, je l’ai acheté et l’ai dévoré. C’est un récit extraordinaire, raconté avec beaucoup d’ironie et de dérision. Et l’auteur a le mérite de ne pas parler que de lui, mais d’aborder aussi avec justesse la culture, l’histoire, la géopolitique de ces territoires. C’est jamais ennuyeux, il y a toujours quelques nouvelles rencontres ou histoires qui arrivent. Et traverser l’Afghanistan à cheval en solitaire, il faut le faire ! »

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