Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Défis de la course (Les)
  • Parfum des îles (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Appel de la route (L’)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Charme des musées (Le)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
  • Joie du voyage en famille (La)
Couverture

La Poésie du rail, Petite apologie du voyage en train
Baptiste Roux




Voyager en train est une routine et une jubilation. Le charme des machines, l’atmosphère chaleureuse ou lugubre des gares ou encore la torpeur d’un compartiment bondé renvoient à l’instant immédiat et convoquent également les souvenirs diffus d’une vie itinérante. Que l’on soit seul ou en groupe, dans une micheline ou à bord d’un TGV, le parcours ferroviaire impose naturellement son temps et son espace, transformant le paysage en durée, contractée ou dilatée selon la vitesse. Voyager en train, c’est aussi reprendre instinctivement des habitudes qui, sans renvoyer à la seule expérience intérieure, posent la question de la présence de l’autre, dans le partage plus ou moins imposé de son intimité. Rencontres, projections, rêves sur les grandes lignes mythiques : le train semble être par nature l’un des meilleurs stimulants de l’imaginaire.

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