Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture

Mrs Pepys, salondemrspepys.over-blog.com, le 8 avril 2012 :
« Pour mettre fin à la léthargie qui s’est emparée de ce salon depuis une semaine, c’est une “petite balade à travers les arts et les traditions” que j’ai choisie. Tel est en effet le sous-titre de l’essai de Frédérique Bardon. En un peu moins de cent pages, l’auteur propose une découverte du monde muséal. S’appuyant sur son expérience personnelle, celle d’une révélation tardive des attraits de ces lieux, elle invite le lecteur à sa suite dans les galeries et les couloirs aux parquets grinçants comme dans des grottes décorées de merveilles de l’art pariétal ou dans les coulisses des musées. Il est évidemment question des œuvres, de celles qui font déplacer les foules du bout du monde et parfois intimident, mais aussi des méconnues, rejetées dans l’ombre par des guides soucieux d’aller à l’essentiel. On revient sur l’origine des musées, sur les évolutions qu’ils connaissent. On s’interroge sur la pertinence de choix d’exposition (in situ ou dans l’écrin de vastes salles immaculées), sur la qualité et la légitimité des objets présentés. Les visiteurs sont observés, leurs travers moqués, leurs petites manies détaillées. Les gardiens eux-mêmes sont examinés. Rien n’échappe à l’attention et à la réflexion de Frédérique Bardon, pour le plus grand plaisir du lecteur.
En guise d’introduction, l’auteur a choisi un extrait de
L’Assommoir, celui où les invités aux noces de Coupeau et de Gervaise se rendent au Louvre. Quelle alléchante entrée en matière ! On se laisse rapidement entraîner au fil de ses déambulations muséales et mentales. Le style est aussi simple que le propos est humble. Jamais il n’est question de donner de leçon. Il s’agit de donner envie de s’abandonner aux flâneries dans les musées, sans aucune prétention. Cette lecture peut sans conteste éveiller la curiosité du lecteur peu habitué des musées. Mais elle est encore plus délectable pour ceux qui s’adonnent à ce loisir injustement qualifié d’élitiste, et qui se retrouvent dans les observations et les questionnements de l’auteur. »

Minou, minoualu.blogspot.fr, le 25 janvier 2012 :
« Ce 29e ouvrage de la collection “Petite philosophie du voyage” s’ouvre sur la visite du site de Font-de-Gaume en Dordogne, une région qui m’est familière et que j’apprécie beaucoup. À ce premier musée succède une série d’autres, que l’auteur évoque toujours avec tendresse et émerveillement, donnant envie de la suivre dans ses déambulations artistiques. De l’entrée aux lieux de restauration des œuvres, l’ensemble de cette institution est parcouru, de même que ses visiteurs : leur façon de regarder les œuvres, de marcher dans le musée, en fonction de leurs habitudes, de leur passion et de leur type de personnalité. Les critiques qui sont souvent faites à ces lieux, comme le fait de couper les œuvres de leur milieu, sont également abordées par Frédérique Bardon qui y répond sans animosité, forte de sa passion et de sa conviction. Au rythme de la balade dans les musées, ce petit livre propose une redécouverte de ces lieux culturels, si riches en émotions pour le spectateur qui sait s’y rendre, grâce à une auteur qui sait partager sa passion sans l’imposer, avec délicatesse. »

Jean-Michel Henny, lecteur, le 5 octobre 2011 :
« En déambulant dans les grandes galeries du Louvre ou du Prado, j’ai souvent rêvé d’un petit livre qui pourrait me servir de guide. Non pas pour m’expliquer l’origine et la signification des œuvres – ce genre de guide, les librairies de musée en regorgent –, mais plutôt pour m’initier à cet univers étrange qu’est le musée, pour me rassurer devant la profusion d’objets qui s’offraient à mon regard. Ce petit livre, Frédérique Bardon l’a écrit récemment dans la collection “Petite philosophie du voyage”. Il s’intitule Le Charme des musées et c’est un vrai bonheur de lecture.
La mode, on le sait, est aujourd’hui aux
Dictionnaires amoureux, mais Frédérique Bardon, quant à elle, n’a pas besoin d’afficher son amour des arts et des traditions pour nous le communiquer. Les musées, elles les aiment tous, du plus prestigieux au plus modeste. Elle nous apprend à en profiter en nous libérant du poids des références culturelles, juste pour le plaisir de découvrir la beauté et la diversité des choses. “Si l’on consacre beaucoup de temps aux musées, on n’a jamais l’impression d’en perdre. C’est comme se retrouver au cœur d’un monde dont la richesse n’a de limites que l’infini qui le compose.” »

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