
Aller partout :
« Humanitaire, militaire, reporter? Ces professions ont en commun de faire voir du pays. Mais le reportage a une particularité : la liberté de son auteur, nullement cantonné à une caserne, un quartier ou un immeuble. Il a le droit – et même le devoir – d’aller partout. Quel plus fabuleux prétexte à la rencontre ? À l’étranger comme en France, il a entre les mains une clé magique, capable d’ouvrir toutes les portes. Il peut suivre une éleveuse de chèvres le matin et interviewer un avocat l’après-midi, visiter une usine un jour et les coulisses d’une salle de spectacle le lendemain. Il plonge littéralement dans d’autres vies que la [s]ienne pour reprendre le titre de l’écrivain et journaliste Emmanuel Carrère. Et pas à n’importe quel moment. Il se fond dans leur intensité, lorsqu’elles sont traversées par des drames comme la perte d’un enfant, d’une maison, d’un emploi? »
Révolution (p. 11-15)
La conscience journalistique (p. 37-40)
Seul à seul (p. 68-72)
« Humanitaire, militaire, reporter? Ces professions ont en commun de faire voir du pays. Mais le reportage a une particularité : la liberté de son auteur, nullement cantonné à une caserne, un quartier ou un immeuble. Il a le droit – et même le devoir – d’aller partout. Quel plus fabuleux prétexte à la rencontre ? À l’étranger comme en France, il a entre les mains une clé magique, capable d’ouvrir toutes les portes. Il peut suivre une éleveuse de chèvres le matin et interviewer un avocat l’après-midi, visiter une usine un jour et les coulisses d’une salle de spectacle le lendemain. Il plonge littéralement dans d’autres vies que la [s]ienne pour reprendre le titre de l’écrivain et journaliste Emmanuel Carrère. Et pas à n’importe quel moment. Il se fond dans leur intensité, lorsqu’elles sont traversées par des drames comme la perte d’un enfant, d’une maison, d’un emploi? »
(p. 17-18)
Révolution (p. 11-15)
La conscience journalistique (p. 37-40)
Seul à seul (p. 68-72)