Collection « Nature nomade »

  • Le Chemin des plantes
  • Je m’appelle Koja
  • Adieu Goulsary
  • Avec les ours
  • Bergère
  • Initiation (L’)
  • Un hiver de coyote
Couverture

ArtzUr, www.babelio.com, le 8 juin 2025 :
« De nombreuses personnes ont parcouru le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en partant du Puy-en-Velay, et ce pour de multiples raisons personnelles. Nicolas Descave a bien sûr, lui aussi, sa motivation personnelle. Mais, en plus de celle-ci, il décide d’ajouter une note différente : en mettant les plantes comestibles en avant ! C’est un prisme étonnant, mais qui interpelle d’autant plus que c’est un des rares, pour ne pas dire le seul ouvrage, qui place les plantes au cœur de cette (dé)marche.
Cela en fait un récit de voyage empli de fraîcheur, de vitalité, d’enthousiasme, très plaisant à lire. L’auteur mêle très bien les connaissances sur les plantes avec des réflexions plus personnelles, agrémentées çà et là des rencontres avec d’autres marcheuses et marcheurs.
C’est une lecture qui ne m’a pas laissée insensible, bien au contraire. Depuis ma chaise ou mon lit ou un banc, bref, depuis chaque lieu où j’ai lu ce livre, j’ai eu l’impression de voyager avec l’auteur sans bouger. On s’imagine aisément voir à travers son regard, chercher les plantes, les cueillir. Par contre, les différentes émotions qui l’habitent tout au long du chemin, on ne peut se les imaginer ou à peine, et encore moins les ressentir, tant cela doit être fort et grandiose.
Déjà sensible aux plantes, à la flore en général, ce récit va me faire voir ces dernières sous un autre angle, avec un œil plus bienveillant, car comme il est dit : “Il ne faut pas oublier que, par définition, les êtres vivants sur lesquels on marche nous soutiennent.” En plus de nous soutenir, elles nous nourrissent. Et il faut (ré)apprendre à les voir et à les respecter. Et puis Nicolas Descave donne aussi l’envie de partir sur les chemins à la rencontre des comestibles, de l’art architectural, de la foi, de réponses à des questions ou toutes autres choses qui pourraient nous motiver. Je sais que lors de mes prochaines balades et randonnées, son parcours et sa vision des plantes seront dans un coin de ma tête. Ainsi, je vous invite grandement à découvrir ce récit plein de dynamisme ! Â»


alainmln, www.babelio.com, le 4 mai 2025 :
« J’ai beaucoup aimé la lecture de ce livre emplit de poésie. Au-delà du chemin de Compostelle, au-delà des plantes sauvages dont il se nourrit, Nicolas Descave nous parle de ses émotions, de ses ressentis, de la richesse spirituelle qu’il accumule au fil de ses rencontres botaniques et humaines, nous révélant la simplicité et la beauté du monde.
Cette quête intérieure, ce voyage initiatique purificateur, devrait conduire cet auteur, je l’espère, à nous faire partager à nouveau sa vision du monde où les végétaux sont une source d’inspiration inépuisable. Â»


Lionel Perret, ami de l’auteur, le 5 mai 2025 :
« C’est dans mon modeste jardin entouré de fleurs des prés que j’ai lu ton ouvrage. Et il y aurait mille choses à en dire. À commencer en évoquant son caractère philosophique et une vision du monde fine, projetée entre deux noms de plantes. Vision d’un monde plein de subtilité, de nuances. Des observations factuelles et terribles. Comme celle de ces territoires aux sols littéralement ravagés par les pesticides. Derrière le sombre, on y découvre ta connaissance et la lumière de la nature qui nous porte, nous environne et nous nourrit de ses couleurs, oxygène, senteurs et pollen.
Il y a aussi et surtout cette trame humaine qui se tisse dans le récit. Ces gens que tu croises, rencontres, conseilles, retrouves au fil des kilomètres. Que tu nourris aussi, de plantes et de mots. Des gens ressemblants ou différents de toi, mais qu’importe, puisque les sourires échangés sont riches de sincérité et de camaraderie.
J’ai beaucoup aimé aussi entre les lignes le lien fait avec la dimension spirituelle qui s’invite au détour d’une chapelle, d’une ville, d’une rue. C’est dire de quoi, tous, nous sommes habités dès lors qu’on accepte d’ouvrir les yeux du cœur. Dans
Le Chemin des plantes, il y a aussi de la poésie du monde et des mots ou jeux de mots.
Enfin, il y a la trace perpétuelle, sous chacun de tes pas, de ceux qui t’ont fait. Ceux qu’on nomme les parents. Une longue marche pour eux, avec eux, entre visible et invisible. Une manière puissante et courageuse d’exprimer la dimension d’oubli impossible. Un souffle de vie prolongé. Moi qui aime lire les signes dans la nature, le vent, les arbres (forme d’animisme) de ceux partis dans le cosmos, je me suis reconnu tout au long de ce récit pur et rempli d’amours pluriels. Merci. Â»

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