Collection « Sillages »

  • Treks au Népal
  • La 2CV vagabonde
  • Ísland
  • Habiter l’Antarctique
  • Cavalières
  • Damien autour du monde
  • À l’ombre de l’Ararat
  • Moi, Naraa, femme de Mongolie
  • Carpates
  • Âme du Gange (L’)
  • Pèlerin de Shikoku (Le)
  • Ivre de steppes
  • Tu seras un homme
  • Arctic Dream
  • Road Angels
  • L’ours est mon maître
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Cavalier des steppes
  • Odyssée amérindienne (L’)
  • Routes de la foi (Les)
  • Aborigènes
  • Diagonale eurasienne
  • Brasil
  • Route du thé (La)
  • Dans les pas de l’Ours
  • Kamtchatka
  • Coureur des bois
  • Aux quatre vents de la Patagonie
  • Siberia
  • Sur la route again
  • À l’écoute de l’Inde
  • Seule sur le Transsibérien
  • Rivages de l’Est
  • Solitudes australes
  • Espíritu Pampa
  • À l’auberge de l’Orient
  • Sans escale
  • Au pays des hommes-fleurs
  • Voyage au bout de la soif
  • Errance amérindienne
  • Sibériennes
  • Unghalak
  • Nomade du Grand Nord
  • Sous l’aile du Grand Corbeau
  • Au cœur de l’Inde
  • Pèlerin d’Orient
  • Pèlerin d’Occident
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Au vent des Kerguelen
  • Volta (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Atalaya
  • Voie des glaces (La)
  • Grand Hiver (Le)
  • Maelström
  • Au gré du Yukon
Couverture

Jacques Girard, lecteur, le 6 décembre 2010 :
« Je viens de terminer à l’instant la lecture de votre livre Par les sentiers de la soie, que j’ai lu quasiment d’une traite.
La lecture rapide permet de s’imprégner d’un livre et là, côté envoûtement, j’ai été fort imprégné. La première impression qui marque d’entrée, c’est l’extraordinaire performance physique. Faire tous ces kilomètres dans des conditions de confort et d’hygiène succinctes est pour moi un véritable exploit. Marcher dans le froid, en altitude, souvent en ayant faim, est aussi vraiment le signe d’une forme physique exceptionnelle. La deuxième impression a trait à votre force de caractère. Les passages difficiles sont nombreux, dangereux, parfois mal fréquentés, que ce soit par les hommes ou les animaux, et vous avancez toujours, peut-être en regardant derrière, mais vous avancez sur ces petits chemins et souvent au milieu de nulle part. Vraiment : bravo pour votre aventure ! »


Lionel Bedin, Un livre dans le sac à dos, Livres du Monde, juin 2010 :
« “J’ai fermé la porte de chez moi en France, j’ai descendu les escaliers et j’ai marché jusqu’en Asie.”
C’est par l’une des plus belles phrases de la littérature de voyage, à mon avis, que débute le récit de Philippe Valéry :
Par les sentiers de la soie, À pied jusqu’en Chine.
Le départ est pittoresque : Philippe commence son périple dans le rond central du stade vélodrome de Marseille, un soir de match, le 8 août 1998, devant soixante mille “amis et spectateurs”. Les raisons du voyage : découvrir autrui, aller voir si vraiment les Serbes et les Croates sont des bouchers sanguinaires et les Iraniens les dangereux fondamentalistes qu’on nous montre à la télé. Le moyen : la marche à pied, “la meilleure façon de calquer ma vitesse sur celle des autres et d’observer le monde lentement”. Le tracé : Marseille-Kachgar. Un ordre de grandeur : 500 kilomètres, c’est trois semaines de marche, quatre jours à vélo ou quatre heures d’autoroute en voiture…
Sur une longue litanie de villes et de pays : Marseille, Monaco, l’Italie. Slovénie, Croatie, Serbie, Bulgarie. Les loups, les Tziganes, Belgrade. La Turquie, “l’Asie, enfin !”, la Géorgie, le Caucase, l’Arménie, Erevan, 5 000 kilomètres, la moitié du chemin. L’Iran.
“Mon décor a beau ne pas avoir changé, je sens bien que je suis entré dans un autre monde.”
Le réveillon de l’an 2000 en l’an 1378. La Caspienne, la police. Le Turkménistan, le désert, 40 °C, les dromadaires, la tempête de sable. “Tout me paraît irréel.” Merv, un serpent dans les toilettes, une femme pour 1 000 dollars. Ouzbékistan. Boukhara, “l’un des noms qui me faisaient rêver” et Samarcande. Émerveillements. Et une ligne ininterrompue de 8 000 kilomètres. Tadjikistan. Les montagnes du yeti. Afghanistan. Le Moyen Âge. Des vallées immenses et désertes. Le corridor du Wakhan, le Pamir. À dos de yack. Pakistan. Karakoram. Vers la dernière frontière : la Chine. Au bout du rêve, le 1er octobre 2000 : “Arriver à Kachgar un dimanche est une chance. Je vais aller au marché et n’ai pas à réfléchir à ce qui se passera après mon dernier pas.”
Ce récit, agrémenté de photos (l’auteur est également photographe), dresse un état des lieux du monde au passage au troisième millénaire. À Vukovar, si proche, “c’est une chose de voir à la télévision des images de guerre, c’en est une autre que d’avoir les deux pieds dans les décombres et d’enjamber les poutres des maisons démolies.” Un ministre est assassiné en Arménie, les talibans sont à Kaboul ou se battent contre l’Alliance du Nord. On a lu ça dans les journaux, le voyageur le vivra en passant. Mais à côté des personnages médiatisés, beaucoup de gens humbles, courtois, simples, accueillants. Ce sont ces gens que Philippe voulait rencontrer, et leurs histoires qu’il voulait partager, leurs vies quotidiennes. C’est bien ce qu’il a fait. C’est ce qu’il nous relate dans ce lent mais très vivant récit de voyage.
“Je ne vais pas gâcher tous ces efforts ni mon plaisir du rêve et de la découverte en regardant passivement défiler le paysage à travers une vitre à 100 à l’heure. Oh que non !” »


Un lecteur, www.priceminister.com, le 15 septembre 2009 :
« Qui n’a pas rêvé un jour de tout quitter et de vivre une belle aventure face à soi-même ? Ce récit est magnifique de vérité et de sagesse. Riche en photos (la passion de l’auteur). Ce voyage mérite le détour. »

Un lecteur, www.alapage.com, le 25 mars 2007 :
« L’auteur écrit comme il voyage : sans superflu, avec humanité. Son récit glisse comme de la soie et nous entraîne sur ses pas… »

Un lecteur, www.fnac.com, le 23 décembre 2004 :
« 10 000 km à pied, ça use ça use… ça use les souliers mais pas le lecteur, qui appréciera le récit fluide de ce voyage escarpé. Car l’auteur sait écrire, et son histoire est à la fois concrète et pleine d’esprit. »

Un lecteur, www.fnac.com, le 18 décembre 2002 :
« Que du plaisir, une aventure extraordinaire… »

Un lecteur, www.fnac.com, le 1er août 2002 :
« Ce petit Marseillais a des idées. Ce livre est intéressant et je vous conseille de l’acheter rapidement. »

Un lecteur, www.fnac.com, le 18 juin 2002 :
« Un récit fabuleux et des photos plus belles les unes que les autres ! À lire au plus vite ou à offrir, un vrai régal. »

Un lecteur, www.fnac.com, le 7 juin 2002 :
« Un photographe de grand talent doté d’un phrasé de fort bon aloi. À voir absolument ! »

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