Collection « Sillages »

  • Treks au Népal
  • La 2CV vagabonde
  • Ísland
  • Habiter l’Antarctique
  • Cavalières
  • Damien autour du monde
  • À l’ombre de l’Ararat
  • Moi, Naraa, femme de Mongolie
  • Carpates
  • Âme du Gange (L’)
  • Pèlerin de Shikoku (Le)
  • Ivre de steppes
  • Tu seras un homme
  • Arctic Dream
  • Road Angels
  • L’ours est mon maître
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Cavalier des steppes
  • Odyssée amérindienne (L’)
  • Routes de la foi (Les)
  • Aborigènes
  • Diagonale eurasienne
  • Brasil
  • Route du thé (La)
  • Dans les pas de l’Ours
  • Kamtchatka
  • Coureur des bois
  • Aux quatre vents de la Patagonie
  • Siberia
  • Sur la route again
  • À l’écoute de l’Inde
  • Seule sur le Transsibérien
  • Rivages de l’Est
  • Solitudes australes
  • Espíritu Pampa
  • À l’auberge de l’Orient
  • Sans escale
  • Au pays des hommes-fleurs
  • Voyage au bout de la soif
  • Errance amérindienne
  • Sibériennes
  • Unghalak
  • Nomade du Grand Nord
  • Sous l’aile du Grand Corbeau
  • Au cœur de l’Inde
  • Pèlerin d’Orient
  • Pèlerin d’Occident
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Au vent des Kerguelen
  • Volta (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Atalaya
  • Voie des glaces (La)
  • Grand Hiver (Le)
  • Maelström
  • Au gré du Yukon
Couverture

Nathalie Glorion, www.lespassionsdechinook.com, le 14 décembre 2017 :
« J’avais envie de sortir un Transboréal de ma pile à lire et de lire un récit rafraîchissant. J’ai donc opté pour Unghalak de Kim Hafez qui va me porter au fil de l’eau jusqu’aux confins du Grand Nord canadien. La dernière fois que j’ai lu un récit de voyage en canoë, c’était avec le très chouette Siberia de Philippe Sauve : j’avais adoré. J’espère qu’il en sera de même avec celui-ci.
Pendant un an et demi, nous allons suivre Kim Hafez dans un périple en canoë qui le mènera d’Ottawa à Tuktoyaktuk, au bord de l’océan Glacial Arctique. Pendant 7 000 kilomètres, contre vents et courants, remontant lacs et rivières, il apprendra à ne faire qu’un avec la nature. Confronté aux éléments, à la solitude, à la fatigue, à la maladie et à la faim, il achèvera son périple complètement changé et n’ayant qu’une idée en tête : repartir.
Déjà, j’ai envie de dire “Respect, Monsieur”, car pagayer 7 000 kilomètres quand plus de la moitié se font à contre-courant, j’avais mal aux bras pour lui. Les portages sont nombreux pour passer tous ces rapides et les allers/retours sur la même portion de chemin pour transporter son matériel sont éreintants. La navigation sur les Grands Lacs est périlleuse, Kim n’est pas un as du canoë lorsqu’il débute son aventure, mais, peu à peu, il apprivoise son embarcation.
Ce récit est une ode à la nature et au dépassement de soi. Les paysages somptueux qu’il traverse me font baver d’envie. Son récit est passionnant, de par son aventure, mais aussi par les bribes d’histoire du Canada et des coureurs des bois qu’il nous raconte. J’aime beaucoup sa philosophie de vie, son respect des gens et de la nature, son courage aussi. Le livre de grand format (il est aussi disponible dans la collection “Voyage en poche”) est agrémenté de jolies photos et de nombreuses cartes des cours d’eau, pour la passionnée de cartes que je suis, ce fut un régal de suivre son avancée, chapitre après chapitre. J’aime beaucoup quand les récits de voyage sont ainsi complétés. De petites illustrations humoristiques agrémentent aussi le récit.
Si vous avez envie de vous évader et de prendre une bonne bouffée d’air frais, tout en restant dans votre jardin et sans avoir mal aux bras, je vous recommande fortement
Unghalak. Unghalak veut dire “vent d’ouest” en inuktitut. Je te souhaite donc bon vent, Kim, et te dis à très bientôt pour lire ton autre récit (Nomade du Grand Nord). »

T. Zangerlé, www.amazon.fr, le 15 janvier 2013 :
« Une très belle aventure qui montre que faire des voyages magnifiques et vivre des expériences époustouflantes est possible avec très peu d’argent, sans assistance, sans moyens techniques hors normes, etc. La réflexion philosophique est parfois “bateau” mais compensée par la sincérité, l’honnêteté et la bienveillance du personnage. Un magnifique choix de vie ! […] Si vous aimez le voyage, l’aventure, la nature, le Grand Nord, n’hésitez pas : accompagnez Kim au fil de ses pages ! Vous ne serez pas déçu ! J’ai directement acheté son second livre. »

Un lecteur, www.voyageforum.com, le 5 août 2009 :
« J’ai lu il n’y a pas longtemps un livre qui n’est pas fort connu, c’est Unghalak, de Kim Hafez. Ce livre est une bouffée d’oxygène, les descriptions de la nature sont parfaites, les images dans le livre sont vraiment bien (surtout les couchers de soleil sur les lacs). C’est l’histoire vraie de Kim Hafez qui voyage en solitaire pendant un an et demi, traversant le Canada en canoë, par les rivières, par des lacs monstrueux, etc. J’ai vraiment adoré ce livre, qui n’est pas prise de tête. Un récit de voyage exceptionnel ! Ce n’est pas toujours : moi je, moi je, etc, l’auteur s’efface devant son récit, et même pendant les dialogues il n’en fait pas des tonnes comme beaucoup d’auteurs. C’est écrit avec une grande simplicité et surtout avec une très grande ouverture d’esprit par rapport aux personnes qui ont un mode de vie différent, en bref il est très tolérant. Vraiment un beau livre à lire ! Pour moi c’est, pour l’instant, le must du récit de voyage ! »

Frédéric Patry, www.amazon.com, le 23 août 2008 :
« Vous dire que cette histoire est réelle. Vous dire que Kim Hafez est un homme, un vrai. Qu’il a fait de brillantes études et que la vie moderne et mondialisée l’accueillait à bras ouverts. Vous dire que ce récit se lit comme un paysage à l’état brut, à la fois beau, fascinant et humble.
Unghalak est une bouffée d’oxygène, une évasion qui vous laissera une trace. »

Olivier Nobili, Carnets d’expé n° 2 d’avril-mai 2004 :
« Un livre très intéressant qui raconte la traversée du Canada de Kim, en canoë et en solitaire. Kim est un petit peu insouciant et c’est ce qui fait le charme de ce voyage, il découvre le canoë lors de cette aventure. De plus, il n’a cherché aucun sponsor pour le soutenir. Il voyage simplement, même si son périple est d’une ampleur exceptionnelle. Kim doit descendre (cas favorable) ou remonter (beaucoup plus long et difficile) de nombreuses rivières pour progresser vers son but. Afin de franchir des rapides trop puissants ou de passer d’une rivière à une autre, de longs et lourds portages à travers les forêts d’épineux, qu’il effectue en plusieurs allers-retours, lui sont nécessaires. Il ne peut naviguer que quelques mois dans l’année car les eaux des systèmes de rivières et de lacs sont complètement gelées en hiver. Il passe donc deux années dans les territoires du Nord pour réaliser son périple. Au printemps, il attend la débâcle (les rivières se purgent de la glace) pour pouvoir continuer. Kim a différentes origines culturelles : égyptien et français, il a également vécu au Maroc. Et cela ne fait qu’enrichir son récit. Petit à petit, on le voit évoluer et devenir de plus en plus symbiotique avec la nature, la forêt sauvage et ses animaux. Il perçoit les choses à la manière d’un poète et avec énormément de respect et d’amour. Kim décrit également la relation quasi mystique qu’il entretient avec le milieu naturel. Son entreprise n’en demeure pas moins une réalisation sportive majeure. Il devra par ailleurs survivre aux tempêtes, à la faim et même à la maladie pour réussir sa très belle odyssée. À lire absolument… »

Trois lecteurs, www.fnac.com :
« Vraiment un livre agréable à livre. Un aventurier intelligent et sensible qui a une vision poétique du monde. Une expédition qui n’en est pas moins formidable du point de vue sportif. »
« Entièrement d’accord avec l’auteur du commentaire précédent. Passionnant de bout en bout. Émouvant aussi et tellement sincère. Très belle leçon de vie et d’humilité. Merci Kim ! »
« Voilà un homme qui a tout compris à la vie, une vie unique, dans des lieux uniques, à la rencontre de gens uniques. Et tout ça sans sponsor ! »


Hélène Dumur, helene.dumur.free.fr, novembre 2001 :
« Un jeune ingénieur français décide de traverser le Canada d’Ottawa jusqu’à la mer de Beaufort, en canoë, au travers des lacs et des rivières, sur des milliers de kilomètres. Voilà un récit superbe, dans lequel on découvre le Grand Nord, son histoire, sa flore, sa faune, ses eaux glacées, ses bourrasques et ses tempêtes, sa beauté, son mystère et sa solitude. Bravant un climat difficile, des conditions matérielles précaires, des efforts constants, l’auteur nous emmène dans un périple où l’on ne s’ennuie pas une minute, décrivant cette nature qui se gagne et se contemple inlassablement, partageant avec son lecteur ses pensées, ses réflexions, ses expériences et tout ce que ce long voyage a profondément changé en lui. Des rencontres simples, des efforts raisonnés et enthousiastes, de la sincérité et de l’intelligence, tous les détails de ce livre contribuent à faire de cet ouvrage un inoubliable moment de plaisir de lecture. Enfin, c’est remarquablement écrit, une langue riche, un français parfait, un style fluide… Un grand écrivain, pour un grand et beau voyage ! »

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