Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture

Didier Vors, www.babelbalades.fr, le 4 octobre 2018 :
« La page de couverture de ce livre pourrait paraître trompeuse, tant dans notre imaginaire collectif, l’île est forcément paradisiaque avec son éternel sable blanc et ses sempiternels cocotiers. Mais les îles sont à la fois uniques et multiples, et c’est précisément cette diversité que Françoise Sylvestre passe en revue sans exclusive. L’auteur nous narre ses nombreuses expériences des territoires insulaires dans lesquels elle a selon le cas, voyagé, séjourné et même vécu et la liste est longue… On est loin de la litanie des îles “faites” à la hâte par des touristes compulsifs. Dans cet ouvrage, écrit un peu sur le ton de la confidence, l’auteur partage volontiers sa passion, voire son addiction, pour ces lieux singuliers, confessant qu’elle ne saurait vivre loin de la mer et des îles. Des choix résolus et assumés qui ont toujours conditionné son existence. Mais son attrait inconditionnel pour ces lieux ne l’empêche nullement d’en souligner les dérives. En particulier quand des îliens se trouvent exclus par le développement du tourisme à outrance et son corollaire de maisons fermées une grande partie de l’année. L’auteur définit l’île comme une entité géographique, affective et philosophique. Elle nous rappelle fort utilement, à l’instar des fins connaisseurs des milieux insulaires, que “le temps de l’île” ne s’écoule pas de la même façon que sur le continent. Pour Françoise Sylvestre, elle isole autant qu’elle attire. On peut se sentir prisonnier sur une île qui nous isole des autres (ne dit-on pas isola en italien ?). Mais à l’inverse cette prison peut s’avérer idéale comme refuge. Notre magazine, fasciné par les milieux insulaires (au point de donner le nom de “nous, vous îles” à l’une de ses rubriques) ne pouvait ignorer un tel ouvrage. Il comblera, au-delà du cercle de nos fidèles lecteurs, tous les voyageurs sensibles à ces espaces hors du commun. »

Thierry Montoriol, Bateaux n° 621, février 2010 :
« Elle n’a jamais eu vraiment les pieds sur terre. Françoise est une vagabonde qui transporte son sac, son carnet et son crayon d’île en île, de bateau en bateau, de rêve en rêve. Son quatorzième livre revient avec bonheur sur ces archipels traversés, ces atolls trop caressés, sans oublier quelques poussières d’îlots qui se souviennent encore de sa tignasse de blonde nordique. C’est avec une plume douce mais sagace qu’elle déshabille gentiment les habitudes insulaires, dépouille ces petits peuples des oripeaux tapageurs dont les catalogues les affublent. Un tout petit bouquin, facile à glisser dans une poche, tout léger aussi mais lourd de mille histoires parfois cocasses, parfois tragiques, toujours vraies. On s’embarque sans méfiance dans ces pages qui naviguent entre Aran, la Réunion, Hoëdic ou Chichime, les Kerguelen et d’autres mirages flottants sur les 360° d’un horizon merveilleusement mis en scène. À ne rater sous aucun prétexte… »

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